Depuis de nombreuses années, les Boucheries Laurent Vincent sont partenaires de clubs sportifs en région parisienne. Un engagement indispensable pour Laurent Vincent pour qui l’investissement auprès d’associations locales est une évidence.
Peux-tu nous présenter les clubs dont tu es partenaires ?
J’ai commencé par un partenariat à petite échelle auprès du CA Orsay Rugby Club avec mon ami Paul Tremsal. Depuis plus de vingt ans, nous organisons les déjeuners d’avant match pour les partenaires et l’après match des joueurs. Depuis quelques années, nous avons lancé un partenariat avec le Rugby Club Suresnes qui évolue en division Nationale. On leur fait des repas d’entraînement, des événements partenaires… On se retrouve dans les valeurs de convivialité, je suis heureux de pouvoir faire découvrir de bons produits de nos Boucheries !
Enfin, depuis cette année nous sommes partenaire du Football Club de Rueil-Malmaison, un des plus grand club de France en nombre de licenciés. J’ai été convaincu par Benjamin, un jeune qui fait de bonnes choses pour développer le Club.
Pourquoi t’engages-tu auprès de ces clubs ?
La première raison, c’est que j’aime le sport ! Plus jeune j’ai fait de la compétition en course à pied, le sport véhicule des valeurs comme le dépassement de soi qui sont importantes dans le monde du travail. Lorsque j’embauche un collaborateur qui fait du sport, même à petit niveau, je sais qu’il a un esprit compétitif. A Orsay par exemple, notre boucher Benoît Verrier est un joueur emblématique du CA Orsay Rugby Club. Il ne connaissait rien à la boucherie en arrivant, aujourd’hui c’est un pilier de la boucherie de la Poste… Comme dans l’équipe d’Orsay !
Ensuite, les associations sportives ont besoin de moyens pour aider les enfants à faire du sport et s’épanouir. J’ai donc toujours voulu aider ces associations pour accompagner les enfants. Je cherche avant tout à faire des partenariats avec des clubs collectifs, pour que les enfants soient habitués à avancer en équipe, dans le même sens.
Enfin, le rugby m’a permis de mieux connaître des amis que j’apprécie beaucoup comme Paul Tremsal à Orsay, Mathieu Blin à Suresnes… Je ne les aurais jamais connu si je n’avais pas été partenaire de ces associations.